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Ludovic DI ASCIA
Prénom :
Ludovic
Nom :
DI ASCIA
E-mail :
yhqbivp.qv-nfpvn@puh-erhavba.se
Équipe :
DYSIIS
Organisme :
UNIVERSITÉ DE LA RÉUNION, CHU
Grade / Titre :
Doctorant
Disciplines :
Santé humaine
Modèles biologiques :
Virus de la Dengue
Biographie :
Projet de thèse: Persistance virale et biomarqueurs urinaires dans la dengue : focus sur les patients immunodéprimés et la prédiction de la dengue sévère
La première question de recherche concerne la persistance virale chez les patients immunodéprimés. Il s'agit de déterminer si cette persistance est fréquente et de comprendre si le rein joue un rôle de réservoir du virus. Pour ce faire, des analyses cliniques et biologiques seront menées sur des greffés rénaux infectés par la dengue, en examinant les échantillons sanguins et urinaires pour détecter la persistance virale, ainsi que des prélèvements histologiques rénaux pour localiser le virus.
La deuxième question porte sur l’identification de biomarqueurs urinaires pour prédire l’évolution vers la dengue sévère (DS). Deux approches seront utilisées : (1) une analyse protéomique du protéome urinaire et (2) une recherche ciblée des peptides issus de la protéine virale NS1, déjà identifiée comme un facteur clé dans la physiopathologie de la DS. Des échantillons issus de cohortes prospectives menées à La Réunion (CARBO et DENGUE RUN) seront analysés pour identifier des biomarqueurs urinaires prédictifs de la progression vers la DS, à la phase fébrile, avant l’apparition des symptômes graves.
Les résultats de cette recherche pourraient offrir de nouveaux outils diagnostiques non invasifs, notamment pour les populations vulnérables, comme les patients immunodéprimés.
La première question de recherche concerne la persistance virale chez les patients immunodéprimés. Il s'agit de déterminer si cette persistance est fréquente et de comprendre si le rein joue un rôle de réservoir du virus. Pour ce faire, des analyses cliniques et biologiques seront menées sur des greffés rénaux infectés par la dengue, en examinant les échantillons sanguins et urinaires pour détecter la persistance virale, ainsi que des prélèvements histologiques rénaux pour localiser le virus.
La deuxième question porte sur l’identification de biomarqueurs urinaires pour prédire l’évolution vers la dengue sévère (DS). Deux approches seront utilisées : (1) une analyse protéomique du protéome urinaire et (2) une recherche ciblée des peptides issus de la protéine virale NS1, déjà identifiée comme un facteur clé dans la physiopathologie de la DS. Des échantillons issus de cohortes prospectives menées à La Réunion (CARBO et DENGUE RUN) seront analysés pour identifier des biomarqueurs urinaires prédictifs de la progression vers la DS, à la phase fébrile, avant l’apparition des symptômes graves.
Les résultats de cette recherche pourraient offrir de nouveaux outils diagnostiques non invasifs, notamment pour les populations vulnérables, comme les patients immunodéprimés.